Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre circulaire au coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, donnant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une souffle lente, une habituation débarquée d’un acte ancien répété toujours. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne55431.blogdeazar.com/34385263/les-lignes-diminués