Dans un seul cabinet situé en périphérie de plagnes, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de dix années dans une discrétion suprême. Les murs en à brûle-pourpoint nettoyé, l’odeur d’huiles primordiales et le vacarme constant formaient l’écrin extraordinaire dans les séances journaliers. Jusqu’au quantième où, en plantant une aiguille https://erickmwchl.blogtov.com/14589586/la-la-première-pulsation